4H... lundi matin 16 février, Christine , David et moi même, nous préparions pour rejoindre, peu après, Jacquie à Joncquières, puis un peu plus tard, Marie Françoise et Jean-Pierre à Mazamet, l'équipe était alors au complet. Un peu plus tard, alors que nous étions sur l'autoroute,  les couleurs chatoyantes de l'aube mettaient en évidence les paysages des Pyrénées orientales surplombés de beaux nuages lenticulaires

  Avec en point d'orgue, le Canigou, dernier pic de la chaîne de Pyrénées! avant la plongée vers la mer

  8h... les premières éoliennes, il y en aura bien d'autres durant ce périple à travers l'Espagne, bien plus que les moulins à vent chers à Cervantes...

  12h... première pause une fois la frontière passée, mais à l'heure française toutefois, sous le regard amusé de quelques employés, se demandant comment il était possible de déjeuner ainsi... en pleine matinée  . Les jours suivant , l'observations du ciel aidant, nous sommes rapidement passés à l'heure espagnole...

  Changement de pays et donc aussi de paysages, de flore, d'architecture...

Tiens! les premiers orangers, nous approchons Valencia, à noter que certaines photos sont + ou - nettes et cadrées car prises à la volée, à travers les vitres du minibus de David

Et les éléments modernes qui, comme en France, côtoient avec plus ou moins d'esthétisme l'architecture ancienne...

 Les paysages deviennent de plus en plus désertiques au fur et à mesure que l'on se dirigeait vers le sud, logique...

Et les orangers tapissent souvent l'espace entre mer et montagnes  

Bien sur nous faisons quelques haltes, histoire de se dégourdir les jambes et de changer de conducteur...

Toutefois certains s'inquiétaient de voir tant de nuages, même s'il était prévu qu'ils envahissent la cote seulement, il faut reconnaître que ce n'était pas engageant!

Ah! changement de cultures, désormais ce sont des amandiers blanc ou roses (pour le tourron!) qui nous accompagnent dans un paysage quasi désertique par moments

Avec quelques belles haciendas, au centre de vastes propriétés agricoles. Nous étions alors à la fin du voyage et sommes arrivés aux gîtes du centre "écofilabres" vers 19h

  Rapidement installés, nous avons repris la route, pour grimper les 15km qui nous séparaient de l'observatoire de Calar Alto.Craignant que notre arrivée de nuit ne gêne les observations, nous avons préféré nous installer un peu avant, pour une première soirée d'observation courte, car le vent était très fort malgré notre choix d'un site protégé et, il faut le reconnaître, nous étions tous fatigués de ce long périple... mais il y aura d'autres nuits.